Question vaguement inspirée par le film Survival family Imaginons juste qu’il n’y ait plus d’électricité, que ça revienne pas, donc plus de radio, pompe à essence, frigo.
Survivez vous longtemps ? quelle compétence vas vous aider ? comment ?
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Je meurs probablement assez rapidement
Bah alors, désolé de tuer avec mes idées à la con de sujet de discussion libre vaguement OC.
Y a pas de mal, je suis juste nul en survie sans électricité
Pareil. Pour survivre aujourd’hui je fais de l’informatique alors le jour où il y aura plus d’éléctricité ma viabilité prendra un sacré nerf.
Ça existe la survie avec électricité ?
Oui : éolienne, moulin à eau. :)
J’ai une radio à pile et un paquet de pile AA. J’ai des bougies mais pas de briquet. J’ai un jours ou deux d’aliment sans cuisson dans le frigo.
Ah non. J’ai paumé la radio.
J’ai assez de livre à livre pour tromper la faim un jour où deux… Qu’est-ce que je raconte, c’est la saison des cerises. Il y a du plantain, des pissenlits, des pâquerettes, tout autour de moi. Je mangerai de l’herbe. Jusqu’à trouver un moyen pour les féculents. Les graminés pardi ! Très peu digestes mais comestibles. Faudra que j’échange des piles pour un briquet comme ça je ferai cuire des trucs en extérieur. S’il fait nuit sans lampadaire, je pourrais aussi ramasser un hérisson de temps en temps. Et je réinventerai le piège à pigeon. Quoique la grippe aviaire ne me tente pas…
De toutes les façons si j’ai le feu alors j’ai bien 15 jours de féculents dans les placards. En les diluants avec bcp de salade, je peux tenir un mois. D’ici là on verra si la situation c’est rétabli, l’exode a commencé ou une nouvelle forme de société a émergé.
Hypothèse sérieuse. Voir l’événement Carrington. Une tempête solaire pourrait détruire les transformateurs électriques. Il faut des mois pour en remplacer un. Comment on se débrouille sans électricité pendant plusieurs mois ?
En vrai, Je connais pas trop mal les sujet et du rayonnement cosmique et de la résistance de l’électronique aux radiations. Et j’ai du mal à voir comment un solar flare pourrait être si dramatique.
Ça va perturber les télécommunications (Encore que l’air de la radio onde courte qui a besoin des propriété de l’ionsophere pour communiquer loin on voit le bout), ça va créer des erreurs dans des dispositifs electroniques (mais de nos jours, pour les applications critiques, les systèmes se mettent en erreur/sécurité plutôt que de retourner une valeur fausse). Donc j’ai du mal à imaginer quelque chose de plus grave qu’un nombre anormalement élevé de “reboot” et de mémoire corrompue.
Dans une centrale nucléaire ou un bête scanner médical, tu as des composants electroniques qui voient des doses de radiations mortelles pour un humain, et la seule conséquence c’est qu’il faut les remplacer souvent en maintenance.
À moins que je manque quelque chose, j’imagine pas une catastrophe.
Voir article France Info point 4 “dégâts”
On sauve le plus urgent : chauffage et cordé pour arrosage (légumes) et boire (fin des robinets) puisque les pompes pour l’eau seront KO.
Après ya pe d’autre truc auquel j’ai pas pensé mais yaura des équipes pour ça et se partager les taches. :)
On est si dépendant que ça des pompes à eau électrique ? L’empire romain avait ramené l’eau dans tous les quartiers et bcp de maison sans. Comment on a pu régresser autant ?
En maraichage, on a tous des pompes électriques connecté à un puit, rivière, ou bassine. Du goutte à goutte et irrigation auto de la serre. L’irrigation auto ça te permet d’avoir des vacances en été
Une fois on avait accueillit un maraicher qui avait enlevé tous les gouttes à gouttes de la serre. J’ai du arroser à la main avec 2 arrosoirs. Ça prenait 2h pour tout irriguer. Alors que tu pouvais alimenter ça au goutte à goutte pendant 40 min et désherber les parcelles.
J’ai souffert.
Si on a pas de pompe, on fera des cordés à 10 personnes, vers 6-7h ? Faut tout arroser de bon matin en été. Donner à boire aux animaux. L’électricité nous fait gagner un temps phénoménal, on serait pas 2 dans les microfermes si on avait pas de pompes.
Après je sais pas comment on amène l’eau du robinet. ça pourrait fonctionner sans car ya pas d’air dans les tuyaux ? Quid de la pollution ?
Quand la pompe était en panne, on remplissait un tuyau d’eau, au niveau de la bassine, localisée en haut. Et en bas on avait un baril qui reccueillait l’eau de la gravité.
En france, on vit dans un monde d’abondance, enfin ça dépend de nos revenus etkpolitique mais actuellement, notre génération n’a jamais manqué de rien. Comparé à avant, ya pas de famines.
On pourrait produire en pleine glaciation ou importer des bananes. On le doit au libre-échange et à la mécanisation.
Et cela pourrai revenir avant la fin de l’année !
Bon ok la probabilité est faible, mais si jamais ça arrivait, on serait bien dans la merde quand même. Des évènements comme celui-là, il en est déjà arrivé plusieurs fois sur terre, sauf qu’à l’époque, il n’y avait pas toutes ces installations électriques et les satellites dont nous dépendons aujourd’hui !
Ahah j’ai écrit un brouillon de livre sur ce sujet, mon walking dead à moi…
En gros, je pars au boulot. Pas pour bosser non, fuck that shit, mais pour survivre.
C’est un bâtiment renforcé supposément capable de supporter un bombardement, 3 cages de faraday imbriquées, un bunker et des caves anti atomique. Le tout est protégé par des murs immenses et des kilomètres de grillage et barbelés. Il y a de la surface pour faire pousser des légumes, des mâts pour prendre de la hauteur et plusieurs accès (dont certains secrets et enterrés) à l’aéroport.
Et un aéroport inutilisable c’est juste d’immenses étendues de terres cultivables entourées par une enceinte de sécurité.
On y trouve des armes, plein de véhicules, du carburant et vu que c’est un aéroport citadin il y a des magasins utiles autour (genre jardinerie avec terreau, graines etc).
Le plus compliqué sera de recruter des survivants pour tenir la place et faire vivre tout ça…
Pas con, Après en «aviation post-apo» j’ai des envies de faire une campagne de jdr dans un monde post apo où faute des mieux des messager se déplacent en «Planeur Ultra-léger» (Non non, je suis sponsorisé ni par Aériane ni par Rupport Composite)
En planeur tu peux traverser l’Europe, si la météo est avec toi.
C’est plausible et plutôt pas con, par contre tu est dépendant de la météo, probablement sans prévisions ni images radar vu que c’est la fin du monde.
Et pour lancer le planeur il te faut une catapulte ou un avion, les deux tournant avec des moteurs à combustion (mais ça peut évoluer oui).
Après les catapultes sur les porte-avions sont à la vapeur (sauf le magnétique qui arrive mais bon). La vapeur vient de la centrale nucléaire, mais si on revient à la base; on sait faire du feu pour créer de la vapeur donc tu peux potentiellement lancer tes planeurs comme ça.
Par contre en ultra léger ils peuvent toujours partir d’un flanc de montagne, mais pour faire de la distance ce sera toujours le même problème, la météo… Et ils iront moins loin car ils auront moins de finesse qu’un véritable planeur.
Oui c’est justement pour le déco à pied que je pensais à ce genre de machin qui ont des perfs impressionnantes ou même à un bête parapente Et ce nouveau record de France on s’approche du Paris Bordeaux, en décollant d’une butte de 100m de haut.
Mais c’est plus un délire pour un monde Post-Apo qu’une idée concrète de survie.
Mais tu travailles où ?
DTC est la première réponse qui me vient, dsl je suis un peu malade…
Mais je bosse dans le contrôle aérien en Suisse (la DGAC en France).
Et donc en Suisse nos bâtiments sont dans des zones aéroportuaires et construits par “les constructions fédérales”.
C’est assez logique dans un sens, en France comme en Suisse, aux USA ou ailleurs, le ciel et son contrôle font parti de l’intégrité nationale, et donc c’est forcément ultra sécurisé (tout comme les zones maritimes pour la France).
Du coup, ce sont des bons endroits pour survivre si tu peux t’y incruster.
Par exemple lors du G20 dans la région l’armée protégeait le bâtiment, il y avait plein de sacs de sable avec des soldats cachés derrière. C’était marrant.
DTC est la première réponse qui me vient, dsl je suis un peu malade…
Mais je bosse dans le contrôle aérien en Suisse (la DGAC en France).
Le pire c’est que techniquement, tu peux dire Dans la Tour de Ccontrôle, c’est beau. Je sais pas pourquoi je pensais que tu étais directement dans le cockpit
Désolé je te réponds 13 jours plus tard, mais effectivement Dans la Tour de Contrôle fonctionne, pourquoi n’y ai-je jamais pensé 🤦♂️
Sauf que plus précisément je bosse dans l’Area Control Center (ACC). La tour c’est des collègues mais ce n’est pas la même qualification. Un ACC gère le ciel, une tour gère un aéroport et ses approches. Ce n’est pas le même métier car en ACC on sépare les avions au cap ou à l’altitude alors qu’en tour/approche les séparations sont faites à la vitesse.
Mais si tu veux du cockpit la majorité de mes potes sont pilotes sur Airbus. On a tous commencé ensemble vers nos 18 ans en “école de pilote de ligne”. Il n’y a que moi qui ai mal tourné et ai resté au sol (also, j’avais pas de tunes et pour être pilote de ligne c’était 100k € à l’époque).
Je suis une créature urbaine, j’ai pas de bug out bag, et je suppose que la superette du coin de la rue sera vite pillée, donc j’ai pas beaucoup d’atouts.
Par contre, j’ai du matos de camping, un vélo, et un minimum de condition physique. Donc je dois peut être pouvoir fuir 3-4 jours à la campagne plutôt que dans le centre-ville.
En premier lieu : le feu.
Je commence à chercher une hache et du bois sec, brindille, branche, buche. Et on fait un stock. Pour avoir du bois bien sec il faut 2 ans. On plantekdukpin douglas pour avoir dukbois rapidement et d’autre essence qui mettront plus longtemps à se developper mais offre du bois de meilleur qualité.
J’allume le feu avec le briquet du bureau de tabac dévalisé et on économise ces briquets. Ya des briquets silex aussi. Je fais un stock de conserve alimentaire.
Les légumes mettrons 3-4 mois à venir à maturité et il me faut acquérir un terrain et une serre au plus vite pour garantir notre autonomie alimentaire.
Une fois le lieu de culture trouvé, on se répartie les roles, comprendre que si on foire nos cultures, on meure de faim et on devra demander aux voisins de la pistance. On prévoit 4 équipes : chasseu.r.euse, cueilleu.r.ses (plante sauvage), maraicher.e.s, éleveu.r.euse.
On va elever des moutons pour avoir de la laine et produire des vêtements. Et aussi des chevaux de traits pour travailler le sol et tracter le bois pour chauffage et construction et aussi nous déplacer en plus du vélo (mais avec la chambre à air…le cheval c’est mieux)
Nous, au jardin, on doit vite résoudre la question de l’irrigation : rivière, pluie, eau de récup…tout doit etre exploité. Et il nous faut de l’argile pour créer des bassin de récup d’eau.
Après, une fois le champs en place, l’objectif sera de surproduire et de faire des conserves jusqu’à la fin des temps. Voilà comme ça, si perte de récolte on a des conserves et on pourra tenir les hivers.
Accesoirement, j’aurai construis sechoir solaire, machine à linge via velo, tableau d’info collectif en ardoise et mutualisation des ressources, douche solaire avec 30s de douche via un gant…
Afin, je pense etre à peu près pret pour tenir le cap. Le début sera facile car on aura encore de l’électricité sous forme de batterie. Ça nous laissera un peu de marge pour tenir et trouver des subtituts, nottament pour la perceuse par exemple.
Et voilà, on a un pro qui tue le game
Pas forcément, relativisons, je viens de la ville comme vous tous et toutes. Ça parait impressionnant mais je pense que je vais douiller, hein. D’autre seront plus compétents mais je sais à peu près de quoi on aura besoin et ce n’est pas exaustif 😁
Disons que durant mes 3 ans à la campagne, dans un collectif un peu anarcho en autogestion, j’ai appris plein de choses.
Un maraicher m’a montré comment on fait un feu, on est allé cherché du bois en forêt et je le coupais à la hache. Un autre comment fabriquer des toilettes sèches et un compost. Une m’a enseigné les base de l’anarchie via l’éducation populaire et montrer comment on crée un projet. Et j’ai vu une 10aine de collectif en décroissance : la ferme légère par exemple.
J’ai aussi géré l’asso, en tant que permanent, un peu de compta, organisé des évènements, accueillis des bénévoles et enseigné ce que j’avais appris sur le tas et via le collectif.
Mais je n’ai pas les compétences techniques (il me faudra 3 ans en agriculture), ni le savoir d’ingénieur et scientifique (electricité, résistance matériaux au vent…). Seul, je meurs très vite, comme nous tous et toutes
Donc la première chose est de faire équipe et partager nos connaissances pour sécuriser nos besoins.
Et d’organiser ces collectifs comme un maillage p2p comme ça, si l’un est en difficulté, on pourra les aider.
Les transmettre comme ça, si je meurs, vous saurez faire et vous pourrez le faire de votre coté ou le transmettre. Et moi, je pourrais mourrir tranquille sans etre stressé et me demander si vous allez vous en sortir dans mon dernier souffle.
C’est le sujet du roman de Barjavel « Ravage ». Ça ne se passe pas bien pour l’humanité.
Interessant que Barjavel ait bossé sur le thème, alors que finalement on est encore plus dépendant à l’énergie que il y a 50 ans.
C’est pour ça que je pensais à Survival family l’apocalypse soft plutôt que l’attaque de Zombie ça marche bien aussi
Le livre est très bien jusqu’au 10 dernières pages, qui sont à la limite de la nausée. Comme quasi tous les Barjavel d’ailleurs
Pour la communication, il ne faut pas grand chose pour communiquer par radio, tout le monde en possède une, ou du moins je l’espère, et fabriquer une pile électrique est d’une simplicité méconnue : du vinaigre, du papier allu et des pièces de centimes.
La radio est sans doute la technologie la plus efficiente pour communiquer, elle nous accompagne depuis la fin du 19eme siècle. On peut supposer qu’il y ait au moins un émetteur qui possède un groupe électrogène et des batteries. On pourrait recevoir les informations officielles (distribution de nourriture, etc.)
Pour la nourriture j’imagine un truc assez simple, je verrais bien les gens de mon immeuble s’organiser pour faire une cuisine extérieur avec un feu de bois. Ensuite il faudrait trouver une autre source d’énergie que le bois, le plus abondant est sans doute le pétrole ou le gaz.
@Ziggurat je sais pas sachant qu’il n’y aura donc plus d’eau je crois que je part me mettre à l’abri qq part à la campagne.
Tu partirais au nord ? :)
@snoopy @Ziggurat @forumlibre mouarf :-)
J’imagine que c’est non ? ☺️
@Snoopy en vrai je sais pas du moment que c’est pas en ville
Je crois que très peu d’entre-nous resterais en ville à part pour emporter des boite de conserve, de l’eau et de que bricoler. :)
pour résumer, je met à disposition mes compétences d’organisation collective en autogestion et de maraicher. À terme on sera tous et toutes autonomes et yaura transmission de nos compétences.
Quant à la survie, je me donne pas un bon pronostique de survie : je serais surement mort d’un virus ou bactérie.
Un grand nombre d’entre nous succombera aux maladies, cancer…Sauf si on trouve un.e medecin qui nous explique comment faire ces medocs et qu’on rétablis l’hopital. On fera aussi plus de bébés.
Cueilleur non confirmé et désorganisé. J’ai oublié que j’avais des conserves. Je peux venir dans ton équipe stp 🦉 stp 🥺
On pourrait fabriquer un sechoir solaire, wc sec et douche solaire. Pour le feu, un gros baril en métal ou un tambour de machine à laver. Par contre j’ai pas le mode d’emploie (vidéo tuto), on va devoir improviser etkle faire de mémoire. :)
Je te prends, on pire on s’en sortira pas mais on s’amusera ^^
Youpi !
@pseudo et as tu déjà gouté la soupe aux orties ou limonade avec des fleurs de sureau ? :meow_hungry:
Non, mai j’ai déjà fait des poellés de pissenlit, farce de plantain, ou de la sauce tomate/cynorhodon. Un jour de printemps ou je n’aurai pas de famille a dîner pour me juger, je me ferai une salade de feuille de tilleul. La plupart du temps, je fais juste des tartes avec des fruits.
L’ortie j’ai jamais tenté. Je ne sais pas comment le préparer. Il y a trop de plante qu’on appelle aussi ortie pour que je fasse confiance au conseil sur Internet qui dise de simplement l’écraser.
Mais c’est génial ça ! C’est un motif de mariage ! 😍😍😍
l’ortie, je connais q’une seule plante, celle qui pique, yen a d’autre ? 🤓
Pour l’ortie, ya plusieurs gros avantage :
- elle est envahissante et pousse aussi bien que la menthe (ryzhome je crois)
- elle est facile à reconnaitre. Ça augmente tes chances de survie et on ne pas finir comme dans into the wild : mort empoisonné.Je me rapelle avoir dit aux bénévoles qui m’aidaient au jardin, quand on ne connait pas la plante et ses voisines : on ne bouffe pas.
Et tu peux manger la tete de l’ortie crue, faut bien la rouler pour casser ses poils urticant. :pika_love:
Et tu peux manger la tete de l’ortie crue, faut bien la rouler pour casser ses poils urticants.
Tu me le confirme. Je peux m’y risquer en t’y faisant confiance. Je te le demande parce que je vais m’y risquer !
l’ortie, je connais q’une seule plante, celle qui pique, yen a d’autre ?
Les lamiers sont aussi appelés faux-orties. L’ortie blanche, l’ortie rouge par exemple sont en réalité des lamiers. Des plantes qui ne piquent et dont l’apparence ressemble à un mélange entre une menthe et une ortie.
@pseudo Effectivement et à ma connaissance ya pas de voisin toxique. Le plus important c’est de vérifier et connaitre les voisins toxiques, par coeur.
Par exemple, je me risquerais jamais à manger une carotte sauvage, le risque de confusion avec la cigue est mortel.
jardinautes.com/carotte-sauvage-ou-cigue/
Quant à l’ortie et le lamier. Le lamier est pas toxique il me semble.
Les feuilles des orties ce sont des scies. Et tu testes si ça pique ou non. En cas de doute, tu peux analyser la disposition des feuilles et environnement ou bien le faire avec un spécialiste de plantes comestible.
Une fois que tu as reperé de l’ortie, pour réduire drastiquement les chances d’empoisonnement, on va la cultiver. C’est pour moi ce qui a créé l’agriculture : réduire le temps de recherche de nourriture, éviter les empoisonnement, améliorer le gout et rendement.
Tu as des recettes à nous recommander ? :)
Pas vraiment. Quand je suis sûr à 300 % d’avoir identifier une plante et qu’elle se trouve dans un coin pas trop fréquenter, je cueille les parties hautes et je les mets dans une poêle avec quelques cuillères à soupe d’eau je couvree et je fais cuire une à deux minutes. Après je rajoute un peu d’huile, je fais revenir, sel, poivre et voilà un plat d’accompagnement.
Pour les tartes, pâte Marie, le fruit dénoyauté par dessus, coupé et hop au four pour très longtemps. Je viens du pays de la prune, donc généralement, c’est ça dans toutes les tartes mais avec un peu de patience, on peut aussi faire une jolie cueillette de mûre des ronces. à disposer sur une pâte cuite à blanc par dessous une petite couche de crème.