• keepthepace@slrpnk.net
    link
    fedilink
    Français
    arrow-up
    2
    ·
    2 hours ago

    Perso j’aimerais qu’on prenne le gout du collectif, mais je sais pas si on touche pas à un instinct fondamental là de vouloir des figures humaines derrières les grands mouvements.

    • Snoopy@jlai.lu
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      1
      ·
      7 minutes ago

      Il me manque des elements pour développer si c’est instinctif/culturelle. Et comment developper d’avantage la structure, la pensée collective.

      En fait, je n’ai pas de référence qui me viennent en tete. À part l’impro au théàtre, là je crois qu’on tient quelque chose pour développer l’empathie, le groupe et prendre des distances car chaque perso a une part d’ombre et lumière et on joue des roles qui nous correspondent pas.


      Même dans un collectif, ya des problèmes structurels et ce sont les groupes externes qui l’empeche de se refermer sur lui-meme

      Je pense que je m’éloigne de ta définition du collectif. Pour passer du je au nous, cela revient à répartir le temps de parole, l’équilibrer.

      Je pense pas que ce soit instinctif…d’un coté si je te complimente, ça fait plaisir. Donc ya un truc instintif aussi. faudrait voir qu’elles sont les autres formes de récits possibles et je manque cruellement d’exemples.

      Si on narre des histoires de héro, amha, c’est parce que c’est plus facile de :

      • Se les représenter, d’etre empathique et de se dire “moi aussi je peux. Je veux etre comme elle” et donc d’adhérer à un mouvement ?
      • De les représenter : La création d’image/icone joue beaucoup aussi. Genre Che Guaverra. si je met 20 noms, se sera plus difficile de m’en souvenir et ça me demandera du temps ?

      Bref je pense quc je sues parti sur nul part, pardon.