Old but thought it should be posted here, for documentation purposes

  • Andvarey@lemmy.world
    link
    fedilink
    arrow-up
    2
    ·
    1 year ago

    Je pense que c’est plus que nécessaire pour le Mont Saint Michel, j’ai des souvenirs où j étais littéralement obligé de rentrer dans des commerces pour ne pas me faire emporter par le flux.

  • JeanPierreDu37@lemmy.world
    link
    fedilink
    arrow-up
    1
    ·
    1 year ago

    Pour avoir habité dans des lieux touristiques je suis complétement pour. Trop de tourisme peut vraiment ruiner la qualité de vie des habitants, sans parler de l’environnement, sans vraiment apporter grand chose.

  • Professeur Falken@lemmy.world
    link
    fedilink
    arrow-up
    1
    ·
    1 year ago

    Traduction par DeepL, l’IA qu’elle est copain avec les humains (enfin, tant qu’ils essayent pas de la débrancher).

    #La France demande aux touristes de ne pas s’approcher de ses plus grands monuments.

    Marseille et la Bretagne sont parmi les premières destinations françaises à réduire le nombre de visiteurs.

    La France est l’une des destinations touristiques les plus populaires au monde - si ce n’est la plus populaire - mais cela pourrait bientôt changer. Après des décennies d’afflux de voyageurs dans le pays, la France a annoncé qu’elle allait mettre en œuvre une stratégie visant à réduire le nombre de visiteurs.

    La ministre française du tourisme, Olivia Gregoire, a déclaré que cette politique répondait aux menaces qui pèsent sur “l’environnement, la qualité de vie des habitants et les expériences vécues par les visiteurs”. Le surtourisme est apparemment devenu un problème beaucoup plus important en France depuis la pandémie, le problème étant que les sites touristiques sont submergés par des visiteurs qui n’y passent pas beaucoup de temps et n’y dépensent pas beaucoup d’argent. De ce fait, les communautés locales constatent qu’elles n’ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins.

    Jusqu’à présent, la France n’a pas annoncé exactement comment elle entendait lutter contre le surtourisme. Dans un premier temps, le gouvernement mettra en place un groupe chargé de surveiller l’industrie touristique du pays et d’identifier les sites les plus menacés. La France va même faire appel à des influenceurs touristiques - qui sont généralement connus pour encourager les gens à voyager - afin de sensibiliser le public aux problèmes posés par le surtourisme.

    Certains sites touristiques populaires en France ont déjà commencé à prendre des mesures pour réduire le nombre de visiteurs. Le parc national des Calanques, à Marseille, a mis en place un système de réservation qui limite à 400 le nombre de visiteurs quotidiens dans ses célèbres criques de Sugiton. Appliquées pour la première fois pendant la pandémie, ces restrictions seront maintenues pendant au moins cinq ans.

    L’île de Bréhat, en Bretagne, a quant à elle commencé à limiter le nombre de visiteurs quotidiens à 4 700. Ces attractions populaires n’essaient pas nécessairement de réduire le nombre total de visiteurs, mais de les répartir plus équitablement sur l’ensemble de l’année.

    Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi la France prend des mesures pour gérer le nombre de visiteurs. Après tout, la population locale et l’environnement doivent passer en premier. S’ils ne peuvent pas survivre, y aura-t-il un jour quelque chose qui vaille la peine d’être visité ?

    La France n’est certainement pas la seule à lutter contre le surtourisme. Partout dans le monde, d’Amsterdam à Bali en passant par Florence, il y a des destinations qui veulent que les touristes restent à l’écart.

    Avez-vous vu que ces villes européennes sont les plus surchargées de touristes en ce moment ?

  • Eghone@sh.itjust.works
    link
    fedilink
    arrow-up
    0
    ·
    1 year ago

    Après c’est concret : des jauges de visiteurs sont mis en place sur les sites les plus fréquentés. C’est nécessaire si l’on souhaite conserver en bon état ces endroits qui nous plaisent.