« Le piratage est un danger pour la création, il faut punir les contrevenants » : c’est le discours communément admis, qui dirige des points de vue, des choix réglementaires et professionnels. Et pourtant les personnes mêmes qui tiennent ce discours le contredisent dans leurs usages quotidiens. Voici des éléments pour un point de vue inhabituel sur ce qu’on appelle le « piratage » : une pratique qui recèle en réalité des pistes très riches pour la rémunération des auteurs et le renouvellement de la création.
@Camus J’ai connu les débuts de l’informatique, les années où l’on avait un foisonnement de traitements de texte duquel est sorti word parce qu’il était le seul à être facilement piratable. Les étudiants utilisaient une version piraté puis une version acheté une fois installés dans une entreprise…
@Camus J’ai connu les débuts de l’informatique, les années où l’on avait un foisonnement de traitements de texte duquel est sorti word parce qu’il était le seul à être facilement piratable. Les étudiants utilisaient une version piraté puis une version acheté une fois installés dans une entreprise…
@[email protected] J’ai connu aussi ha ha